Bon nombre d’Américains ont encore du mal à trouver profit dans le prêt étudiant

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L’enseignement supérieur n’est pas à moindre coût aux États-Unis. Un cours universitaire en intégral requiert la disposition d’une somme allant jusqu’à 35 000 $, voire plus. De ce fait, dès que le cursus au lycée prend fin, les étudiants Américains se tiennent devant un choix à devoir résoudre : continuer leurs études et avoir des dettes lourdes pour payer tous les frais de cursus qui s’avère être en hausse, ou aussi penser à cesser de courir le risque de ne trouver que des travaux peu récompensés.

Une dette très importante et intéressante

Par la présence de différentes et plusieurs banques et d’autres agences de prêts existants dans le pays, il n’est pas toujours difficile d’avoir un crédit pour étudiant en France et dans le territoire d’Oncle Sam. Le problème se trouve notamment dans le moyen de remboursement du crédit demandé, dès que le diplôme soit obtenu et agréé. Afin de payer leurs études à l’université ou dans les écoles supérieures, les étudiants Américains pensent demander dans la moyenne, un prêt de 15 000 à 20 000 $. Ceux qui sont les plus riches, qui sont très peu, contractent jusqu’à 40 000 $.

Mais ceux qui sont moins bien lotis entameront leur vie professionnelle avec une énorme dette sur les bras alors qu’ils devront en plus faire face aux dépenses journalières (loyer, nourriture et factures diverses). Et le surendettement n’est jamais très loin.

Mais les plus démunis ont la possibilité de commencer leur vie professionnelle avec une dette démesurée à la disposition. Pourtant, ils feront également et bien faire toujours face à des débours quotidiens tels que le loyer, les aliments, les frais et les factures. Ce qui dit que le surendettement est toujours au rendez-vous.

Il y a ceux qui tentent de changer les situations

Prenant connaissance des difficultés que les jeunes font face afin de payer convenablement leurs études, il y a des gens qui essayent de changer les choses pour mieux gérer la situation. Il s’agit d’une personne en particulier, Michael Bloomberg, qui est un ancien maire de New York. Cet homme milliardaire a donné plus 1,8 milliard de dollars à l’université où il a étudié autrefois. Le but est de donner aux jeunes gens qui viennent des endroits trop fragiles la chance de continuer leurs études dans cette institution où il a fait ses études. Même si c’est un acte bien plus que clément, cet agissement de Michael Bloomberg n’a pas malheureusement vraiment pas gagné l’accord du public. Il s’agit surtout de Sandy Baum, un expert de la formation universitaire. Cette femme pense que l’argent donné aurait du être partagé dans des écoles moins aisées. Autrement dit, des enseignements où plusieurs étudiants ont la possibilité d’y entrer avec le principal but de rénover la qualité des cours qu’ils reçoivent.

Bien d’autres personnes, y compris Joanna Darcus, une avocate dédiée pour l’organisme de protection des consommateurs ou NCLC, défendent en faveur d’une réduction des coûts de l’éducation et de la hausse du nombre de bourses d’études universitaires. D’après Joanna, le moyen de rétribution des différentes études par une dette est insuffisant qu’il mérite d’être retiré de la course.

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